L'Islande n'a qu'une route nationale qui en fait le tour : la 1.
Les touristes qui craignent les mauvaises routes ne s'en éloignent
pas.
Cependant on ne peut pas dire qu'on a 'fait l'Islande' si on n'a pas emprunté
certaines routes du réseau secondaire !
Quant aux pistes (les routes 'F'), on ne peut les parcourir qu'avec un véhicule
4x4 et surtout en ayant une bonne connaissance des gués.
Le panneau 'MALBIK ENDAR' nous signale que la route devient mauvaise... c'est
à dire 'fin de route goudronnée'. Aie aie aie !
Cela veut dire que nous allons avoir affaire à des nids de poule, des
cailloux de taille et de forme diverses, de la boue ou de la poussière,
ou encore de la tôle ondulée, tout cela tour à tour ou
en mélange aléatoire...
Si par hasard la route en question est en travaux, on ne sait plus vraiment
où on roule, et s'il pleut, on est quitte à laver son véhicule
à la prochaine station service : équipement gratuit à
notre dispositon dans toutes les stations.
Il a beaucoup plu ce 15 juillet sur la route 60 (Nord-Ouest).
Le 14 juillet nous 'faisions le Djup', must des Islandais.
Cette route 61 nous offre un magnifique spectacle sur la péninsule
inhabitée du Drangajökull.
Curiosité : embranchement de la 65 à l'intérieur du tunnel
au Sud d'Isafjörður.
Pot pourri de routes 'malbik endar'...
La nationale 1 au Sud entre glacier-volcan et mer...
Dans toute l'Islande on rencontre des tas de pierres qui sont les restes de
l'ancienne signalisation.
A certains endroits ces tas ne sont pas espacés de plus de 10 m car
l'hiver, dans le blizzard, on n'y voit guère...
Attention, gué !
Attention, travaux !
Quelques noms de villes à bien prononcer !