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MISTRA, au passé très riche et chaotique, sur le flanc escarpé d'un contrefort du Taygète, n'est plus habitée - si l'on excèpte quelques nonnes du couvent de la Pandanassa - depuis le milieu du IXXème siècle.

La restauration de Mistra fut entreprise dès le XXème siècle et Mistra est maintenant inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Mistra est bâtie sur trois niveaux : la ville basse, la ville haute et le 'kastro', de 330 m à 621 m d'altitude :

LA VILLE BASSE - Mitropoli (cathédrale St-Dimitri), fondée vers 1270 :

- Le monastère de la Pandanassa ; encore occupé par quelques nonnes, il fut fondé en 1428 ; dominant la vallée de l'Eurotas, avec Sparte dans le lointain :

- L'église de l'Odigitria :

- L'église des Sts-Théodore :

- L'église Evangelistria :

LA VILLE HAUTE - Le Palais des Despostes, fermé au public pour restauration :

- L'église Ste-Sophie, l'église du palais :

LE KASTRO

Guillaume II de Villehardouin y tint une cour fastueuse avec ses chevaliers champenois, bourguignons et flamands...

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